À ma mère...A mi madre.
À la Vie...A la Vida.


La Cama Blanca

Y te espero, en mi cama blanca

Perfumada de primavera
Y te estraño pintando los dias que pasan
Y mi cuerpo, no puede mas


Hay mi amor! Mi amado, mi vida
Cuando vas a regresar, a casa

Hay mi amor! Mi tierno, mi dicha
Cuando vas a volver , volver me a tocar


Hay mi amor! Mi sueño se prende
Como fuego de atardecer
Hay mi amor! Mis labios me arden

Como rosas de amanecer

Y te sueño, en mi cama blanca

Vestida de primavera
Y te canto, pasando los dias alla
Y mi alma, no puede mas


Hay mi amor! Mi pelo se moja
Bajo la lluvia de mi dolor

Hay mi amor! Mi piel se embruja
Bajo truenos de antiguos, de antiguos color


Y te pinto, en mi cama blanca
Con mis flores, de primavera
Y te siento, contando los dias que pasan

Y mi espera, no puede mas

Hay mi amor! Mi fuente se llena

De lagrimas de luna mujer
Hay mi amor! Mi mente se queja
De ilusiones de mi querer


Y me duermo, en mi cama blanca
Al final, de la primavera

Y te amo, encontrando los dias alla
Y mi llanto, ya esta demas.


(Le Lit Blanc)

Et je t'attends, sur mon lit blanc

Parfumée de printemps
Et je te regrette, peignant les jours qui passent
Et mon corps, n'en peut plus


Ah! Mon amour! Mon aimé, ma vie
Quand reviendras-tu à la maison

Ah! Mon amour! Mon tendre, mon bonheur
Quand vas-tu recommencer, recommencer à me toucher


Ah! Mon amour! Mon rêve s'allume
Comme feu à la brunante
Ah! Mon amour! Mes lèvres brûlent

Comme roses à l'aurore

Et je te rêve, dans mon lit blanc

Vêtue de printemps
Et je te chante, en passant les jours là-bas
Et mon âme, n'en peut plus


Ah! Mon amour! Mes cheveux se mouillent
Sous la pluie de ma douleur

Ah! Mon amour! Ma peau s'ensorcelle
Sous les tonnerres d'anciennes, d'anciennes couleurs


Et je te peins, sur mon lit blanc
Avec mes fleurs de printemps
Et je te sens, comptant les jours qui passent

Et mon attente, n'en peut plus

Ah! Mon amour! Ma fontaine se remplit
De larmes de femme lune
Ah! Mon amour! Mon mental se plaint

D'illusions de mon aimer

Et je m'endors, sur mon lit blanc
À la fin du printemps
Et je t'aime, en retrouvant les jours là-bas

Et mes pleurs, sont maintenant de trop