Verse 1:
Jeune: c'était du genre confiant
Un bon seuil de réussite, c'était du genre contant

Celui qui compte pas l'temps mais l'horloge a tourner
Maintenant il cours après des souvenirs déjà oublier


Ces rêves sont victimes de sa naïveté
Croit qu'sa vie n'est qu'la vitrine donc y'aimerais juste regarder
Celle: qui masque et cache des cartes

Belle: juste si l'calme y gagne sur l'mal

L'amour c't'un poison dû a d'nombreuses défaites

Des histoires et des faits, des trompeuses l'ont défait
Mais pourtant il essai d'éviter les échecs
En sachant qu'y'a des serpents après chacune des échelles


Exigent envers lui-même et sa tête
Écrit sa peine sur papier et sa l'aide

Devenu méfiant à force de pas l'être $$#ez
C'est le résultat d'une jeunesse qui est rester caché




Refrain:

La vie n'a pas d'prix, y'a pas d'pot d'vin
La mort n'est qu'une étape vu qu'notre âme n'a pas d'fin
C'est chacun son histoire, chacun son parcours de faite

C'est le son d'une poésie parfaitement imparfaite




Verse 2:
L'ombre de lui-même il se cache de la lumière

Dès qui croise son propre regards: il perçoit tout juste l'enfer
La vérité se cache elle-même dans le déni
Puis Il dénigre et il d'écrit son propre vécu dans le mépris


Il est bien dans le froid de la solitude
Ça lui rappelle que la vie reste la seul étude

Que rien n'arrive pour rien même si pour lui tout est terminé
Le karma f'ra sa job quand y s'ra déterminé


Peu d'étude alors peu d'chance de boulot
Mais l'alcool calme les peines d'un homme soulaud
Voit pas d'avenir il se voyait mort bien avant

Il est seul contre tous dans ce monde de sentiment

Ces larmes sont sèches à force de peu couler

C'est le rôle de l'orgueil de les faire dégouter
Ou de les écouter, car ici même le silence parle
Seul les geste ont d'la valeur quand les mots on pu d'impacts