Vapeur d'ébats
Débat de boue
Va, pleure, te bats

Mais ne tiens pas debout
A quelle heure étais-tu petit?
As-tu perçu la trêve?

Le dragon fumant de mes nuits
Me fait vomir ce rêve.


Si je pouvais, en me fumant de vous
Ma nébuleuse me détachant de tout
Baiser la terre comme baisent les fous

D'une volute plus humaine que nous.

Des éléphants

Des mandibules
Des eaux salées
Des qui s'annulent

Donnons lui un peu de ton nom
Un peu de ton plaisir
Les pauvres ont le droit d'être cons

Et nous autres de fuir.

Mais si je pouvais, en me fumant de vous

Ma nébuleuse me détachant de tout
Baiser la terre comme baisent les fous
D'une volute plus humaine que nous.


Sentir un peu
Comment qu'on l'aime

Lui dire adieu
Merci quand même
Putain, pourvu qu'elle nous entende

Que sonne ce silence
Qu'elle soit clémente avec nos cendres
Nos belles insolences.


Si je pouvais, en me fumant de vous
Ma nébuleuse me détachant de tout

Baiser la terre comme baisent les fous
D'une volute plus humaine que nous.


Si je pouvais, en me fumant de vous
Ma nébuleuse me détachant de tout
Baiser la terre comme baisent les fous

D'une volute plus humaine que nous.

Si je pouvais, en me fumant de vous

Ma nébuleuse me détachant de tout
Baiser la terre comme baisent les fous
D'une volute plus humaine que nous.


Sentir un peu
Comment qu'on l'aime

Lui dire adieu
Merci quand même.