Les deux pôles morts de lassitude
De ce monde soufflant sa plénitude
Et au milieux de l'atmosphère

Je me sens comme éphémère

Trop désinvolte pour être fière

Et trop fière pour mettre pied à terre
Mais trop terre à terre pour être forte
Assez pour prendre mon envol


Le reflet figé dans le verre
Mes larmes en acier et en fer

Mais à quoi bon les retenir
Et à quoi bon s'en faire


Et je reste au milieux de la nuit
Debout sans fissure et sans bruit
Mais de mal en pis et de fugue en fugue

L'aiguille perçant ma solitude

Le ciel et ses boulevards sans fond

A l'histoire d'un chaos incessant
Et tu pries sans croire mais Dieu te répond
" Il faut croire en l'Homme mon enfant "


Nous ne serons pas morts pour rien
Nous ne serons pas morts pour rien

Nous ne serons pas morts pour rien non...

Les deux pôles morts de lassitude

De ce monde soufflant sa plénitude
Mais au milieux de l'atmosphère
Je me sens comme éphémère


Trop désinvolte pour être fière
Et trop fière pour mettre pied à terre

Mais trop terre à terre pour être forte
Assez pour prendre mon envol


Le reflet figé dans le verre
Mes larmes en acier et en fer
Mais à quoi bon les retenir

Et à quoi bon s'en faire

Et je reste au milieux de la nuit

Debout sans fissure et sans bruit
Mais de mal en pis et de fugue en fugue
L'aiguille perçant ma solitude


Le ciel et ses boulevards sans fond
Et l'histoire d'un chaos incessant

Et tu pries sans croire mais Dieu te répond
" Il faut croire en l'Homme mon enfant "


Nous ne serons pas morts pour rien
Nous ne serons pas morts pour rien
Nous ne serons pas morts pour rien non...